Parmi les modèles de sorbetières, il est parfois difficile de choisir l’appareil adapté. Alors que la France s’apprête à subir un nouveau coup de chaud, on vous livre tous nos conseils pour trouver le compagnon idéal pour des glaces fait-maison !

Les sorbetières à froid autonome ou turbines à glace

Considérées comme des machines semi-professionnelles, les turbines à glace possèdent un groupe réfrigérant autonome. Elles peuvent donc être utilisées immédiatement et l’on peut y préparer plusieurs glaces à la suite. Les turbines à glace, dotées d’un système complexe et de haute qualité, sont logiquement assez onéreuses.

Les sorbetières à accumulateur de froid

Moins chères, les sorbetières à accumulateur de froid sont les plus courantes sur le marché. Avec ce type de sorbetière, vous devez placer dans votre congélateur soit une cuve soit un disque pour accumuler le froid nécessaire à la préparation de la glace. C’est une fois seulement le froid accumulé qu’il est possible d’utiliser l’appareil.
A la différence de la turbine à glace, la sorbetière à accumulateur de froid nécessite donc un temps de mise en service assez long qui varie entre 10 et 12 heures.

Comment choisir entre les deux ?

Si vous êtes un passionné de crèmes glacées et que vous ne pouvez pas attendre, préférez la turbine à glace. Si votre production de glaces est plus restreinte et que votre congélateur est assez grand, choisissez plutôt la solution de la sorbetière avec cuve. Si vous en avez la place, rangez directement votre cuve dans le congélateur ainsi, quand l’envie d’une glace vous prend, vous pouvez l’utiliser sans attendre. Enfin pour ceux qui n’ont que peu d’espace dans le congélateur, optez pour la sorbetière avec disque accumulateur.

Sachez enfin que certaines kitchen machines proposent leur propre accessoire sorbetière. Si vous en possédez une, vérifiez dans ce cas si elle ne dispose pas d’une cuve sorbetière ainsi vous gagnerez de la place !

En réaction à la parution de l’article « Rénovation énergétique : le tout électrique revient en force » publié en mai 2020 dans le magazine Que Choisir,  le Gifam souhaitait rétablir la vérité quant à la question des appareils de chauffage électrique et sensibiliser les consommateurs sur les bénéfices à long terme que ces appareils apportent, tant sur le plan environnemental que sur le plan économique.
Revenons point par point sur les arguments évoqués dans l’article.

 

« En l’état actuel du projet de réglementation soumis à consultation, sa stratégie nationale de rénovation énergétique des bâtiments modifie l’orientation jusque-là suivie, qu’il s’agisse du niveau de la rénovation basse consommation ou des classes du diagnostic de performance énergétique (DPE). L’objectif étant de faire en sorte que l’électricité soit favorisée et que le chauffage électrique devienne la norme »  

  • Dans le cadre de la Stratégie nationale bas carbone (SNBC), la France s’est engagée à poursuivre la réduction des émissions de gaz à effets de serre comme elle s’y était engagée lors de la COP 21 de Paris. Aussi, la prochaine réglementation qui s’appliquera aux bâtiments neufs (RE2020) ne peut s’inscrire que dans cette démarche qui constitue désormais une priorité, le gouvernement l’ayant clairement indiquée dans sa feuille de route communiquée en janvier dernier.
  • L’électricité produite en France, déjà peu émettrice de CO₂, est issue de plus en plus des énergies renouvelables (hydraulique, éolien et solaire). Parmi les solutions électriques existantes, le chauffage électrique constitue donc une opportunité pour la France de satisfaire à ses objectifs environnementaux.

 

« Des radiateurs électriques, coûteux à l’usage, sont privilégiés par le projet de la réforme »

« Le gouvernement compte sur le tout électrique […] mais au lieu de miser avant tout sur la réduction des consommations d’énergie, il assouplit des règles pour laisser la part belle au chauffage électrique par radiateurs, bon marché en investissement mais très coûteux à l’usage »

  • Le convecteur électrique tel qu’il est mentionné dans l’article, fait partie des technologies existantes, mais il ne représente aujourd’hui que 16% des appareils installés en France. Les fabricants ont opéré une véritable révolution depuis l’apparition de ce premier type d’émetteur il y a plus de 50 ans et proposent aujourd’hui d’autres technologies d’appareils comme les panneaux rayonnants et les radiateurs que les consommateurs apprécient : ces derniers représentent en effet 63% des appareils présents dans les foyers français[1], sans oublier les radiateurs sèche-serviettes qui équipent près d’un quart des logements.
  • Les investissements permanents en Recherche & Développement portés par les industriels du secteur pour développer des appareils intelligents et performants apportent des réponses fortes aux besoins des consommateurs : confort thermique, allègement de la facture d’électricité, réduction de la consommation d’énergie et de l’impact environnemental.

 

« Le chauffage électrique par radiateurs, [est] bon marché en investissement mais très coûteux à l’usage » 

  • Cette affirmation est totalement erronée. De nouvelles fonctions, comme la programmation ou la connectivité facilitent le quotidien des consommateurs et permettent de réaliser des économies d’énergie conséquentes : lors du remplacement d’un convecteur de première génération par un émetteur de dernière génération, les économies d’énergie sont de l’ordre de 30%, en fonction de l’usage, des caractéristiques de l’appareil, du comportement du consommateur et des caractéristiques thermiques du logement.

 

Concernant l’isolation thermique du bâti, évoquée dans le paragraphe « les consommateurs dindons de la farce »

  • Les fabricants d’appareils de chauffage électrique ont toujours été en faveur d’une excellente isolation thermique du logement qui va de pair avec un système de chauffage performant, quelle que soit l’énergie, pour apporter confort et efficacité énergétique. D’ailleurs, les fabricants de solutions de chauffage électrique ont été pionniers en la matière et ce dès les premières réglementations thermiques. Aussi, « les passoires thermiques » ne sont pas l’apanage de l’énergie électrique.
  • Crise économique, difficultés financières passagères, certains consommateurs n’ont pas le choix et doivent définir des priorités en matière de dépenses lors d’une rénovation. Changer ses émetteurs de chauffage électriques, pour des appareils de dernière génération, offre l’avantage d’améliorer immédiatement leur confort thermique grâce à une régulation permettant d’obtenir en un temps très court la température de confort souhaitée avec une précision au 1/10 de degrés près.
  • Par ailleurs, les fonctions de détection, d’auto-apprentissage, de communication à l’intérieur du logement ou encore de pilotage des appareils à distance permettent à l’utilisateur de contrôler au plus près ses dépenses énergétiques, tout en utilisant une énergie très faiblement carbonée.
    Pourquoi devraient-ils s’interdire de tels bénéfices ?

 

« Ainsi les logements chauffés à l’électricité aujourd’hui étiquetés C vont passer comme par magie en B, sans qu’on ait amélioré le moins du monde l’isolation de leur bâti »

  • Il convient de rappeler que la classification des logements dans le cadre du DPE (Diagnostic de Performance Energétique) fait intervenir jusqu’à présent dans les formules de calcul un coefficient dont la valeur dépend du type d’énergie utilisée pour différents usages dont le chauffage.
  • En cela et contrairement aux autres énergies, l’électricité est pénalisée par un coefficient de 2,58, valeur demeurée inchangée pendant 50 ans alors que dans le même temps, le mode de production de l’électricité a considérablement évolué en recourant de plus en plus aux énergies renouvelables. Ainsi, depuis janvier 2020, cette valeur a été ramenée à 2,3.
  • La modification du calcul du DPE envisagée pour les logements électriques n’est en aucun cas une « tromperie » mais au contraire une évolution pour permettre au consommateur de disposer d’un classement plus représentatif de son logement en matière d’efficacité énergétique et des moyens pour agir concrètement sur celui-ci.

 

[1] Etude TNS Sofres pour le Gifam

À lire également : Dossier de presse – Amélioration du confort thermique de l’habitat

Brochettes et fruits au barbecue

C’est le début de l’été ! 🌞 Le soleil fait son grand retour cette semaine et avec lui, les grillades ! Barbecue électrique, grill, plancha tour d’horizon des appareils à adopter cet été !

 

  • Le choix de son appareil

Si vous vivez en appartement ou maison, la solution barbecue, grill ou plancha électrique peut être une vraie solution. Gain de place, facilité d’usage (plus besoin de charbon de bois !) ces solutions sont idéales même si vous disposez d’un petit espace pour cuisiner.

Si vous vivez en appartement sans balcon, nous vous recommandons le grill ou la plancha, qui peuvent être utilisés en intérieur.

Heureux détenteurs d’un jardin ou d’un balcon, le barbecue électrique est fait pour vous !

  • Pourquoi l’adopter ?

Tout d’abord pour le gain de place ! Il n’est plus essentiel de disposer d’un jardin pour profiter de grillades au quotidien. Ensuite la facilité d’usage : branchez votre appareil, attendez qu’il chauffe et vous n’avez plus qu’à disposer viandes, poissons ou encore légumes pour procéder à la cuisson !

La facilité d’entretien : certains appareils disposent de grilles lavables en machine. Fini la corvée de nettoyage !

Enfin, la cuisson à la plancha ou au grill sont des cuissons très saines, sans matières grasses. De véritables alliés santé !

  • Comment entretenir ses appareils ?

Pour que votre appareil dure dans le temps et profiter de tous ses avantages, pensez à bien nettoyer la grille de votre barbecue ou grill après chaque utilisation. Pour ce faire, passez la en machine le cas échéant (consultez la notice) ou décollez les résidus avec une brosse.

Pour le nettoyage de votre plancha, vous pouvez utiliser la technique du déglaçage. Mettez des glaçons sur votre plaque encore chaude, et laissez les fondre. Les graisses partiront plus facilement, et vous n’aurez plus qu’à gratter délicatement à l’aide d’une spatule.

Que ce soit pour le barbecue ou la plancha, n’oubliez pas également d’entretenir vos accessoires : laissez les tremper dans une eau chaude et mélangée à du liquide vaisselle, pour retrouver votre attirail de chef comme neuf !

À la fin de l’été, pensez à ranger votre barbecue, plancha ou grill à l’abri des intempéries. Ce geste simple le préservera de la rouille et améliorera sa longévité ! Pour la mise en hivernage de la plancha,  il vous suffit de bien nettoyer votre plaque avant de la ranger, de la huiler abondamment avec un sopalin et enfin, de la recouvrir d’un cellophane. Vous récupérerez votre plaque aussi propre que vous l’avez laissé pour l’été prochain.

Entretien à l’année = longévité

  • Le saviez-vous ?

La plancha, d’origine espagnole, est constituée d’un plan de cuisson capable de résister à de fortes chaleurs puisque le principe de la cuisson à la plancha est de saisir rapidement les aliments à feu vif avec très peu de matières grasses. On considère que les premiers utilisateurs de la cuisson à la plancha sont des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle au XIXe siècle. Pour pouvoir manger le long du chemin, ils transportaient à dos de mulet de simples plaques en tôle. À la fin de la journée, ils posaient ces dernières sur des braises et faisaient ainsi chauffer leur repas.

Récupérée par les nobles, la plancha fut alors utilisée lors de grandes fêtes et rassemblements mais aussi bien vite abandonnée au profit d’autres modes de cuisson. Après une période où l’on n’entend presque plus parler d’elle, la plancha réapparaît, notamment dans le pays Basque, et devient un mode de cuisson festif et populaire que l’on utilise lors des rencontres sportives. Sa véritable démocratisation voit le jour quand les restaurants à tapas décident de s’en servir pour leurs clients. Dans les années 1980, la plancha va franchir la frontière et les Français vont alors découvrir ce nouveau mode de cuisson qui allie saveur, diététique et facilité d’entretien.

 

 

 

 

 

À l’occasion de la journée de l’environnement, découvrez nos 15 petits gestes à adopter au quotidien avec ses appareils électroménagers pour une consommation plus responsable et respectueuse de l’environnement.

 

  • J’utilise le programme par défaut de mon lave-vaisselle.

Même s’ils sont parfois longs, ces programmes sont conçus pour laver parfaitement en utilisant le minimum d’eau et d’électricité.

  • Je ne rince pas mes assiettes avant de les ranger dans mon lave-vaisselle !

Je retire simplement les principaux déchets de l’assiette et je laisse faire le lave-vaisselle. Et en plus je gagne du temps ! 😊

  • Pour économiser de l’eau et de l’énergie, je fais fonctionner mon lave-vaisselle ou mon lave-linge à pleine charge.

En faisant tourner une machine à pleine charge, il est possible de réaliser 45% d’économie d’énergie.

  • Je dégivre mon réfrigérateur s’il n’est pas équipé de la technologie « no Frost ».

5 mm de givre, c’est +30% d’énergie consommée. A réaliser au moins 1 fois par an !

  • Je n’installe pas mes appareils de froid (réfrigérateur, congélateur, cave à vin) dans une zone trop exposée au soleil ou près d’une source de chaleur.

Un appareil de froid placé au soleil va devoir consommer plus d’énergie pour refroidir… CQFD

  • Avant de passer à l’étape du sèche-linge, j’essore le linge avec ma machine à laver à une vitesse minimum de 1000 tours.

Un linge bien essoré, c’est l’assurance d’un séchage parfait tout en économisant de l’énergie !

 

 

  • Quand le linge est peu sale, je diminue de quelques degrés la température de lavage.

Cela permet de consommer moins d’énergie tout en obtenant un résultat parfait. Attention, ce conseil ne vaut pas pour l’entretien de vos masques réutilisables en tissu.

  • J’enchaine deux cuissons en commençant par le plat qui nécessite la plus haute température.

Cette astuce permet de gagner du temps et surtout d’économiser facilement de l’électricité.

  • Lorsque j’utilise mon four, je l’éteins 10 minutes avant la fin de la cuisson pour utiliser la chaleur résiduelle.

Ou si mon four est doté d’un système de programmation, j’utilise les programmes par défaut qui ajustent le temps et la température automatiquement. Un moyen simple de réduire sa consommation d’électricité !

  • Je couvre autant que possible mes poêles et casseroles.

Encore une fois, cela permet d’éviter la perte de chaleur et la consommation inutile d’électricité de mes plaques de cuisson !

  • Je pense à détartrer régulièrement mes petits appareils (bouilloires, fer à repasser…).

Trop de tartre peut engendrer une surconsommation d’électricité. Pensez-y !

  • J’entretiens mes appareils pour qu’ils consomment moins et durent plus longtemps !

Prendre soin de son électroménager, c’est essentiel pour une utilisation optimale et une durée de vie plus longue de ses appareils !

  • Je répare ou fais réparer mes appareils.

Si l’un des mes appareils tombe en panne, c’est le premier réflexe à adopter ! Pour connaître le bon réparateur près de chez soi, je consulte la plateforme Starsav.fr qui référence l’ensemble des professionnels agréés.

  • Si j’ai besoin de le changer d’appareil pour d’autres raisons (déménagement, famille qui s’agrandit…) je le donne à une association.

Il est tout à fait possible de donner son électroménager en bon état à des association comme Emmaüs ou des organismes comme le réseau Envie.  Je me renseigne pour trouver le réseau le plus proche de chez moi.

  • Si mon appareil n’est pas réparable, je le recycle !

Pour recycler ses appareils, rien de plus simple : je le dépose dans un point de collecte Ecosystem, dans une boutique du réseau ENVIE ou en déchèterie.

 

Et vous, quelles sont vos astuces pour plus d’économies et d’écologie au quotidien ?

 

 

À lire également :

Alors que le déconfinement s’amorce, voici les recommandation du Gifam pour bien entretenir son masque en tissu tout en respectant ses appareils électroménagers.

 

Les temps sont difficiles pour nos crinières en ce moment. Mais en attendant de pouvoir retourner chez son coiffeur préféré, découvrez nos astuces pour choisir les bons appareils et bien les utiliser.

  • Choisir son sèche-cheveux

Accessoire indispensable, quelle que soit votre coupe de cheveux il permet de (pré)sécher vos cheveux, fixer une coiffure, réaliser un brushing…

Premier élément à regarder avant d’acheter un sèche-cheveux, sa puissance, car elle conditionne la performance de séchage. Optez pour un appareil avec une puissance minimale de 1700 Watt. Les appareils professionnels affichent une puissance de 2200 Watt.

Ensuite, les vitesses. L’appareil doit en posséder au minimum deux : une vitesse élevée pour pouvoir sécher vite et donner du volume aux cheveux et une vitesse moins puissante pour fixer le mouvement sans mélanger les cheveux.

Enfin, les niveaux de température. La température la plus élevée permet de sécher plus rapidement, la température moyenne permet de sécher normalement, la touche froide permet de refroidir le cheveu. Les sèche-cheveux professionnels proposent un variateur de température d’une amplitude de 130 à 230°C.

En matière d’embouts, les sèche-cheveux ont tous un concentrateur qui vous permet de sécher une partie précise de vos cheveux pour mieux orienter le flux d’air. Certains ont également un diffuseur, plus large, qui sert à donner du volume à vos cheveux.

Certains sont dotés d’un bouton de flux d’air froid : cette fonction vous permettra de fixer durablement votre coiffure. La fonction IONIC empêche le chargement statique des cheveux et leur garantit une brillance maximale.

 

  • Le bon geste

Il est essentiel d’adapter la chaleur en fonction de son type de cheveux. Pour les cheveux fins et fragiles, une basse température est préférable, à l’inverse, pour les cheveux épais, rebelles ou crépus, une température maximale est recommandée. Si vous utilisez un sèche-cheveux plusieurs fois par semaine, appliquez régulièrement un soin traitant adapté à votre type de chevelure pour compenser son dessèchement et préserver sa fibre capillaire.

Respectez dans tous les cas une distance de 20 cm par rapport au cuir chevelu pour éviter tout risque de brûlure.

  • Donner du style à ses cheveux selon ses besoins

Si je recherche…

  • … du volume : utilisez l’embout diffuseur de votre sèche-cheveux pour obtenir un coiffage naturel tout en volume et des cheveux ondulés. Le diffuseur modeleur permet quant à lui de donner du volume à la coiffure grâce aux doigts qui le composent et aux mouvements rotatifs qui sont opérés par l’utilisateur.
  • … une crinière lissée : utilisez l’embout concentrateur de votre sèche-cheveux pour diriger précisément le flux d’air chaud. C’est l’accessoire indispensable pour un beau brushing. Choisissez votre appareil avec un embout de qualité qui optimisera la qualité du séchage. Si vous faites face à quelques mèches rebelles, le fer à lisser vous permettra de venir à bout de tous ces caprices. N’oubliez pas d’utiliser un produit adapté pour protéger vos cheveux de la chaleur.
  • … un volume maîtrisé : utilisez La brosse coiffante qui combine à la fois le fer à lisser et le sèche-cheveux ! Pour bien procéder, commencez par sécher vos cheveux avec une serviette, puis peignez-les pour bien les démêler et divisez-les en mèches à l’aide d’un peigne. Vous pouvez alors utiliser votre brosse coiffante en veillant à commencer par sécher la racine avant les pointes. Un cheveu mal séché est un cheveu mal lissé ! Si vous possédez une brosse coiffante et séchante, ne l’utilisez pas sur cheveux mouillés.
  • …des cheveux bouclés : le fer à boucler ou à lisser seront vos meilleurs alliés.

Par manque de temps, on oublie souvent de prendre soin de ses appareils. Pourtant, c’est la garantie de leur bon fonctionnement et de prolonger leur durée de vie. On vous livre tous nos conseils pour bien entretenir ses appareils. Suivez le guide !

  • Le réfrigérateur et le congélateur

Si votre appareil n’est pas équipé d’une fonction de dégivrage automatique, c’est le moment de le dégivrer. Placez vos aliments dans des glacières avec des pains de glace. Une fois le réfrigérateur-congélateur vidé et débranché, décollez le givre à l’aide d’une raclette en plastique (jamais un couteau). Pour vous aider à le ramollir, utilisez une éponge imbibée d’eau chaude.

Nettoyez l’intérieur du réfrigérateur et de votre congélateur avec une éponge imbibée d’un détergent adapté. N’utilisez surtout pas d’eau de javel.

Si votre appareil n’est pas encastré, dépoussiérez la grille noire à l’arrière (le condenseur), veillez à ce que la partie arrière de votre réfrigérateur-congélateur soit toujours bien ventilée.

  •  La machine à café et la bouilloire

Utilisez un produit de détartrage adapté ou a minima un peu de vinaigre blanc dilué dans de l’eau.

  • Le four

Le nettoyage du four dépend de votre appareil.

– La pyrolyse : il s’agit du mode de nettoyage le plus employé en France, il permet de détruire les projections de sucres et de graisses en portant la température à 500°C dans la cavité. Seules quelques cendres demeurent ensuite qu’il suffit d’enlever à l’aide d’un simple coup d’éponge.

– La catalyse :  elle détruit les projections de graisses sur les parois par oxydation pendant la cuisson des plats au-dessus de 180°C. La catalyse peut aussi s’effectuer par la mise en marche du four au maximum de sa température pendant 10 à 15 min après chaque utilisation. Il est conseillé après chaque cuisson de laisser fonctionner le four pendant 10 à 15 min afin de régénérer les parois catalytiques.

– L’hydrolyse : elle constitue une aide au nettoyage manuel. Après avoir versé 1/3 de litre d’eau dans la sole et ajouté un peu de liquide vaisselle, le four est mis en fonctionnement à 60°C pendant 4 minutes et permet une évaporation des salissures pendant une quinzaine de minutes.

– Les fours dits à « émail lisse » : Dépourvus de mode de nettoyage automatique, ils nécessitent d’être entretenus régulièrement par l’utilisateur à l’aide d’un détergent doux et d’une éponge.

– Le cas du four vapeur : Aucune projection de graisse ne se produisant lors de la cuisson, le four vapeur s’entretient d’un simple coup d’éponge.

  • Le lave-vaisselle

Pour éviter le tartre, si l’eau de votre habitation est dure, remplissez régulièrement le bac en sel de lavage, spécialement conçu pour le lave-vaisselle. Pensez également à détartrer et dégraisser votre appareil 1 à 2 fois par an en utilisant un produit nettoyant dédié. N’oubliez pas de suivre le mode d’emploi !

  • Le fer à repasser ou la centrale vapeur

La fréquence de détartrage dépend de la dureté de l’eau et de la fréquence d’utilisation de votre appareil. Suivez les consignes de détartrage figurant sur la notice d’utilisation. Certains appareils sont dotés d’un témoin de détartrage et/ou d’un système anticalcaire : s’il est amovible, pensez à le vider régulièrement ! Si l’appareil est doté d’une technologie qui empêche les taches de calcaire sur le linge : là, rien à faire, l’appareil se charge de tout.  Enfin, s’il possède une fonction auto-nettoyage : suivez les préconisations du fabricant pour l’utiliser.

  • Le robot culinaire

Nettoyez le corps du robot avec un chiffon doux et humide. Attention ! N’immergez jamais dans l’eau la partie qui renferme le moteur. Nettoyez les bols et les accessoires à la main ou au lave-vaisselle. Dans le cas d’un nettoyage à la main, utilisez un détergent vaisselle. N’utilisez pas de grattoir, pour ne pas rayer les  bols. Les produits abrasifs et l’eau de javel sont également à proscrire.

  • Les appareils de coiffure

Débranchez votre appareil et laissez-le refroidir avant de le nettoyer. Nettoyez le corps de l’appareil ainsi que ses accessoires avec un chiffon légèrement humide pour ôter les cheveux ou impuretés qui auraient pu notamment se fixer sur la grille arrière. Séchez avec un linge sec avant d’utiliser à nouveau votre sèche-cheveux.

  • L’aspirateur

– L’aspirateur avec sac contient un filtre qui protège le moteur des particules de poussière, ainsi qu’un autre filtre limitant le rejet de poussières aspirées dans la pièce : changez-les tous les 5 changements de sac et au minimum 1 fois/ an. Certains modèles ne nécessitent pas de les changer ou sont dotés d’un témoin de remplissage. Reportez-vous à la notice de votre appareil.

– Les aspirateurs sans sac et  robot peuvent avoir des filtres lavables qui se démontent et se lavent à l’eau tiède et sèchent à l’air libre ; des  filtres non lavables doivent être remplacés dès qu’ils sont recouverts d’une couche de poussière ; des filtres moteur se remplacent une fois par an.

 

En cas de doute, consultez toujours  la notice d’utilisation de votre appareil !

 

A lire également : Utiliser mieux ses appareils

Secteur de l’électroménager français : le Gifam annonce un bilan positif en 2019

Paris, le 5 février 2020 – Le Gifam, groupement des marques d’appareils pour la maison, a présenté aujourd’hui le bilan 2019 du secteur électroménager français. Avec une croissance de +3,7% en valeur et 8,8 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2019, l’électroménager constitue encore cette année un véritable moteur de croissance du marché des biens d’équipement de la maison.

 

Lire le communiqué de presse

 

 

Retour Espace Presse

 

En janvier, le Gifam – groupement des marques d’appareils pour la maison – a le plaisir de partager avec vous sa 14ème newsletter dédiée au lave-linge, où vous retrouverez histoire, anecdotes et dernières innovations de ce produit.

En exclusivité ce mois-ci : Matteo Rambaldi, directeur politique énergie d’Applia, nous explique les changements de règlementation européenne liée à l’étiquette énergie.

À télécharger ici !

Retour Espace Presse

À quelques heures du #réveillon, découvrez 5 astuces pour bien utiliser votre four et préparer votre volaille  / rôti végétal de noël

1.  Adapter la température

Si le temps et la température de cuisson doivent être adaptés en fonction du poids et du type de volaille, il est recommandé de réaliser une cuisson progressive, de 180°C à 150°C. L’idée est de commencer une cuisson à haute température pour dorer la viande, puis de réduire la température progressivement pour garder une chair moelleuse.

2. Le secret : déglacer

Ajoutez de l’eau (ou un peu de cidre /champagne selon vos goûts) sur la volaille pour la déglacer. Pensez également à arroser régulièrement votre volaille avec le jus de cuisson pour attendrir la viande.

3. Ne pas assaisonner

Ne salez surtout pas l’extérieur de votre volaille mais seulement l’intérieur : le sel a tendance à assécher la peau et à créer des salissures sur la paroi de votre four.

4. Utiliser un tournebroche

Si votre volaille n’est pas farcie, utilisez le tournebroche de votre four. Il permettra de rôtir votre volaille de manière uniforme, comme les professionnels.

5. La chaleur tournante

Le programme chaleur tournante sera idéal pour la cuisson de votre accompagnement : pommes de terres rôties ou petits légumes.

Vous êtes végétarien ?

Si vous optez pour un rôti végétarien (rôti de seitan par exemple),vous pouvez opter pour la cuisson vapeur, mijotée ou encore au four. Si vous choisissez cette dernière solution, pensez à activer l’option chaleur tournante et comme pour la volaille, à bien arroser régulièrement le rôti !

Bon réveillon ! 🥂